
Les Ukrainiens se battent pour leur droit d’exister en tant que peuple. Les États-Unis choisiront-ils le bon côté de l’histoire?
Le spectacle récent à la Maison Blanche avec le président Zelensky était horrible. L’administration américaine voulait clairement diminuer publiquement le président ukrainien. M. Zelensky s’est vu offrir la carotte d’un accord financier rare-terrasse minéral pour l’amener à la Maison Blanche pour la réunion, mais a plutôt été frappé par un bâton d’agressions verbales qui ont persisté par la suite sur les réseaux sociaux. Le président de l’Ukraine aurait dû être traité ainsi que tout autre chef d’État essential lors d’une visite officielle aux États-Unis, la façon dont les présidents de Grande-Bretagne, de France, d’Israël, d’Irlande et de l’Inde ont été traités récemment – avec Decorum et non avec Derision.
Sur une word plus optimistic, le président Zelensky vient d’indiquer que des pourparlers préliminaires en Arabie saoudite entre les équipes des diplomates américains et ukrainiens ont été encourageants. En fait, le conseiller à la sécurité nationale Michael Waltz vient d’appeler le retour des enfants ukrainiens pris par la Russie en signe de bonne foi par la partie russe. Le frottement, bien sûr, sera le côté russe. Vont-ils redonner les trente mille enfants volés en Ukraine et emmenés en Russie?
En tant que chercheur à vie de la littérature ukrainienne et russe, je connais bien les deux cultures. L’Ukraine a une custom de démocratie depuis l’époque des Kozaks ukrainiens (alias Cosaques), qui ont élu leur chef, leur hetmanà sa démocratie de trente-trois ans d’aujourd’hui. La Russie, en revanche, n’a qu’une custom d’autocratie et de régime d’homme fort, même après la révolution bolchevique de 1917 qui a renversé le tsar russe. Les tentatives naissantes de démocratie post-soviétique ont lamentablement échoué, laissant le vide à Poutine pour atteindre la règle d’un seul homme en Russie par le contrôle complete de la presse, l’abolition des libertés personnelles et l’arrestation de quiconque en dissipe.
L’Ukraine a une longue histoire d’être réprimé par la Russie et l’URSS. Le régime tsariste du XIXe siècle a interdit la langue ukrainienne sur papier et dans les performances publiques. Après une brève période appelée «La renaissance exécutée»Dans les années 1920, lorsque la tradition ukrainienne a prospéré, Staline a arrêté, torturé et exécuté plus de sept cents écrivains ukrainiens les plus brillants. Il a également éliminé cinq hundreds of thousands de paysans ukrainiens par famine de masse (appelée le Holodomore en Ukraine) en 1932-1933, à une époque où l’URSS exportait des grains pour financer son industrialisation forcée. L’Union soviétique a poursuivi une politique de russification lorsque la langue et la tradition ukrainiennes ont été réprimées, et de nombreuses figures culturelles comme le poète Vasyl ont été emprisonnés et / ou tués.
La Russie fait dans les territoires occupés aujourd’hui précisément ce qu’il a fait auparavant aux XIXe et XXe siècles. Des écrivains et des figures culturelles ukrainiens ont été arrêtés et torturés, les websites culturels ont été pillés ou bombardés, et une politique de russification mise en œuvre avec l’incendie des livres ukrainiens, l’interdiction de la langue ukrainienne et la fermeture des écoles ukrainiennes. (Pour avoir une idée de cela, voyez mon 2022 article de weblog Dans WLT sur la torture et l’exécution de l’auteur ukrainien des enfants Voloydymyr Vakulenko.) L’histoire se répétant dans la state of affairs actuelle pousse les Ukrainiens à combattre avec chaque as soon as de leur être contre cet empire du mal.
L’histoire se répétant dans la state of affairs actuelle pousse les Ukrainiens à se battre avec chaque as soon as de leur être contre cet empire du mal.
Malgré leurs bombardements quotidiens et leurs agressions au sol, les Russes sont enlisés. L’Ukraine a pu riposter efficacement avec l’aide militaire des gouvernements démocratiques du monde, pour lesquels il est extrêmement reconnaissant. Peu de temps après avoir accepté un cessez-le-feu en principe après l’appel téléphonique de M. Poutine avec M. Trump, la Russie a intensifié ses attaques contre des cibles civiles à Odesa, Sumy, Zaporizhzhia, Kiev et ailleurs. Les forces ukrainiennes ont répondu en frappant des cibles militaires russes en Crimée occupée et dans la base aérienne Engels-2 en Russie, la principale étape de lancement des attaques de bombardiers stratégiques contre l’Ukraine. Un cessez-le-feu n’aura jamais lieu jusqu’à ce que la Russie cesse de tirer contre des cibles civiles. Les forces ukrainiennes abattent plus d’une centaine de drones russes pratiquement chaque jour. Pour une résolution vraiment pacifique du conflit, l’Ukraine a besoin de garanties contre l’agression militaire russe future. L’Ukraine ne déclencherait jamais aucun sort de conflit armé avec la Russie, et un pacte de non-agression mutuel serait une étape importante pour assurer un avenir pacifique avec les troupes de maintien de la paix stationnées dans le pays.
Le mémorandum de Budapest sur les assurances de sécurité en 1994 signé par les États-Unis, la Russie, l’Ukraine et la Grande-Bretagne devait garantir les frontières de l’Ukraine et sa sécurité en échange de l’Ukraine abandonnant son arsenal nucléaire. Il n’a finalement pas protégé l’Ukraine des violations de la Russie en 2014 et en 2022 de ce mémorandum. Pour Poutine, pourrait bien ne pas tenir compte des traités ou du droit worldwide. Avec sa mentalité impérialiste, il a effectivement poussé la Russie à devenir un État néo-staliniste. Il veut éliminer les Ukrainiens de la face de la terre et nie ouvertement leur existence en tant que peuple. Il n’est pas étonnant que les Ukrainiens appellent les envahisseurs russes Rashysty (une combinaison des mots «russe» et «fasciste») et des orques (tueurs insensés de l’univers de Tolkien).
Mon espoir le plus sincère est que les têtes raisonnables prévalent dans les négociations en cours avec une volonté de venir à une resolution juste. Il faut cependant garder à l’esprit le fait que la Russie est l’État agresseur qui a envahi son voisin souverain et paisible en 2014, annexant illégalement la Crimée et une partie de l’est de l’Ukraine, puis lançant une invasion à grande échelle en 2022. Les sources d’Ukrainien estiment que la Russie a perdu 900 000 hommes qui ont été de la mer. L’Ukraine a également perdu bon nombre de ses courageux hommes et femmes qui se battent de façon altruiste pour défendre leur patrie. L’Ukraine devait tomber en trois jours. Contre toute attente, trois ans plus tard, l’Ukraine est toujours debout avec 53% des Américains, selon un récent Sondage Gallup—Paser l’offre proceed d’armes des États-Unis pour aider l’Ukraine à se défendre.
Si les négociations ne parviennent pas à progresser vers une resolution juste, ce serait un laps de jugement flagrant pour les États-Unis de couper l’aide militaire en Ukraine. En fournissant cette aide, les États-Unis soutiennent la liberté, la démocratie et la règle du droit worldwide. L’éliminer non seulement l’Ukraine mais aussi le reste de l’Europe en hazard imminent. Il y a déjà plus de sept hundreds of thousands de réfugiés ukrainiens de la guerre. Même une victoire ou une trêve partielle de Poutine sur les termes inflexibles de Poutine conduirait à des hundreds of thousands d’autres Ukrainiens à la recherche de refuge. L’Ukraine veut la paix, mais une paix juste. L’Ukraine veut garantir qu’elle ne sera plus attaquée par une Russie lourdement réarmée si les sanctions occidentales sont supprimées. Cette guerre pour l’Ukraine est existentielle contre le nettoyage ethnique. Les Ukrainiens se battent pour leur droit d’exister en tant que peuple. Si la Russie refuse catégoriquement de négocier quoi que ce soit au-delà de la capitulation par la partie ukrainienne, l’administration américaine devrait exercer une pression maximale sur le dictateur russe et non sur l’Ukraine démocratique pour mettre fin à la guerre. Sinon, les États-Unis seront du mauvais côté de l’histoire et récompenseront ouvertement la Russie pour son agression contre son voisin pacifique.
Université d’État de Pennsylvanie