Une introduction à la façon de boire du saké reflète celle de whisky japonais: tu le savoures. Considéré comme la boisson nationale du Japon, le saké est un incontournable de la delicacies et de la tradition japonaises depuis des siècles (tout comme Awamori). De nos jours, il n’est pas nécessaire d’aller bien loin pour siroter ce spiritueux emblématique. Selon le Affiliation japonaise des fabricants de saké et de shochules exportations de saké du Japon vers les États-Unis ont plus que doublé au cours de la dernière décennie.
« L’importation de saké de qualité supérieure a commencé il y a environ 30 ans, et la réfrigération a contribué au contrôle de la qualité, à la diversité des saveurs et à la dégustation du saké sur le marché », a déclaré Hitoshi Utsunomiya, directeur de la Japan Sake and Shochu Makers Affiliation. Journal des hommes.
Il existe près de 30 brasseries de saké aux États-Unis, selon le Affiliation des brasseurs de saké d’Amérique du Nordet les bars à saké, les menus de dégustation de saké et les cocktails à base de saké sont devenus monnaie courante dans les eating places et les magasins de bouteilles alors que la scène du saké artisanal proceed de prospérer dans les villes, grandes et petites, à travers le pays, un peu comme bière artisanale, bourbonet tequila ont explosé en popularité au cours des dernières décennies.
Sommelier du saké dans un restaurant gastronomique japonais Matsu À San Diego, en Californie, Kim Roxas affirme que partager l’histoire du saké avec ses invités est l’un des meilleurs points d’être un somm.
« C’est notre travail d’aider à partager le saké avec le monde et d’aider les petits producteurs et brasseries du Japon qui sont là depuis des centaines d’années et les générations de familles qui ont lancé ces brasseries de saké », explique Roxas.. « Leurs sakés sont si consistants et si délicieux, et c’est quelque selected dont je suis très fier. »
Avec toute cette histoire et cette custom sur les épaules, remark êtes-vous censé boire du saké sans nuire à sa tradition ? Il existe un ensemble de règles tacites que, heureusement, nous avons compilées ci-dessous pour vous aider à vous intégrer lors de votre prochaine visite au bar à saké.
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Qu’est-ce que le saké ?
Les quatre principaux ingrédients du saké sont le riz, l’eau, la levure et le koji. Bien que les trois premiers ingrédients puissent sembler familiers, le koji est une moisissure ou un champignon stimulant la fermentation qui fait partie intégrante de la delicacies japonaise et que l’on retrouve dans tout, du miso à la sauce soja et au shoyu.
Le Koji donne sa saveur au saké en inoculant et en décomposant les amidons présents dans le riz. Il y a même un dicton utilisé par les brasseurs de saké japonais : «Ichi-koji, ni moto, San Tsukuri», qui se traduit par « Koji en premier, tradition de démarrage en second et brassage en troisième ».
Fondamentalement, lorsqu’il s’agit de brasser du saké, la fabrication du riz koji est la première étape du processus. Tout comme on ne peut pas brasser de bière sans levure (sans elle, il n’y aurait pas de fermentation), on ne peut pas faire de saké sans koji.
Remark bien boire du saké
Semblable au vin, la clé pour apprécier le saké est simplement de le savourer.
« Il existe de nombreux parallèles avec le vin en termes de façon de boire du saké, et tout comme le vin, il existe différents récipients et verreries qui peuvent aider à faire ressortir les arômes et les saveurs », explique Roxas.
Comme vous le feriez avec du whisky ou un verre de vin rougeil y a certains sakés, notamment les sakés vieillis, appelés koshu, que Roxas dit qu’elle servirait dans un verre bordelais : « Vous voulez laisser ce saké s’ouvrir et s’exprimer comme un vin ou un whisky », dit-elle.
L’une des meilleures façons d’essayer une variété de sakés est aussi easy que de le commander la prochaine fois que vous vous rendrez dans un restaurant japonais.
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« Nous rencontrons des débutants en saké et des gens qui n’ont essayé que du saké chaud, automobile c’est ce qui est le plus courant ici aux États-Unis », explique Roxas. « Beaucoup de gens ne savent pas qu’on peut essayer du saké frais, servi dans un verre à vin et, tout comme la bière et le vin, il existe différents sorts et températures auxquelles vous pouvez le servir.
Si vous souhaitez boire du saké à la maison, Roxas affirme qu’il n’y a pas de règles strictes. « C’est aussi easy que de trouver une bouteille, de l’ouvrir et de s’amuser avec. »
Cependant, là est l’étiquette impliquée lorsque l’on boit avec les autres. Vous voulez être sûr de verser leur verre de saké d’abord avant de vous servir un verre. Une fois le saké servi, il est également de custom de dire « acclamations », ou Kanpai en japonais, avant de boire.
Quelle est la teneur moyenne en alcool du saké ?
Comme le dit le vieil adage du saké : le saké est construit comme la bière, mais se boit comme le vin. Bien qu’elle varie, d’une manière générale, la teneur en alcool du saké peut se situer entre 13 % et 17 % ABV, ce qui le rend idéal pour les cocktails.
« Il a un ABV plus faible, donc il vous donne toujours cet effet alcoolisé agréable, mais vous pouvez avoir plus de variété et essayer différentes choses », explique Roxas.
Remark prononcez-vous Saké?
Lorsque vous commandez du saké dans un restaurant ou un bar japonais aux États-Unis, prononcez-le « sah-keh » et non « sah-kee ». Vous serez probablement accueilli avec un vol de saké ou un menu dégustation. Cependant, si vous commandez du saké dans un restaurant ou un bar au Japon, vous serez peut-être surpris d’apprendre que le nom du saké est en réalité nihonshu (nee-hone-chaussure).
« Le mot ‘saké’ au Japon signifie simplement alcool, donc si vous êtes dans un bar ou un restaurant au Japon et que vous voulez commander du saké, ils vous diront : ‘Eh bien, tu veux un cocktail, tu veux ?’ un verre de vin ? » dit Roxas. En d’autres termes, vous commandez simplement de l’alcool en général. Nihonshu est un choix plus spécifique, qui se rapporte au vin de riz japonais traditionnel auquel vous vous attendez.
De plus, le saké peut être fabriqué et vendu n’importe où. Mais le nihonshu est fortement réglementé. De la même manière que le bourbon ne peut être fabriqué qu’aux États-Unis, le nihonshu doit être fabriqué au Japon et ne contenir que quatre ingrédients : du riz, de l’eau, de la levure et du koji.
Quels sorts de sakés existe-t-il ?
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Au-delà du chaud ou du froid, filtré ou non filtré, il existe une variété de sakés en fonction de leur rapport de polissage du riz (RPR). Il existe également une grande variété de variétés de saké, notamment des sakés pétillants et des sakés vieillis appelés koshus. Mais, en ce qui concerne les sorts de saké les plus courants, voici ce que vous trouverez sur un menu ou dans votre magasin de bouteilles native :
Ginjo/Junmai Ginjo
Les ginjos et le junmai ginjo entrent tous deux dans la catégorie des sakés haut de gamme. Avec un RPR de 40 ou plus, les profils de saveur trouvés dans les ginjos vont du fruité au sec, ce qui les rend faciles à siroter. Servir frais ou à température ambiante pour un most d’umami.
Daiginjo/Junmai Daiginjo
Les sakés comme Roxas adorent les daiginjos et les junmai daiginjos en raison du niveau plus élevé de savoir-faire qui entre dans le processus de manufacturing. Avec un RPR de 50 ou plus, les daiginjos incluent une grande variété de profils de saveurs qui sont généralement propres et vifs, ce qui en fait des boissons de qualité supérieure.
Namazaké
Saké non pasteurisé ou cru qui doit être réfrigéré, le namazake est un peu plus brillant et plus croustillant en bouche et doit être consommé plus rapidement que les autres variétés de saké.
Nigori
Également connu sous le nom de saké bother ou laiteux, le nigori est exclusivement servi frais en raison de sa nature non filtrée et a généralement un profil de saveur doux, soyeux et doux qui convient parfaitement au dessert ou associé à quelque selected d’épicé.
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Quelle est la différence entre le saké chaud et le saké froid ?
Il n’y a pas beaucoup de différence lorsqu’on considère la façon de boire du saké chaud, froid ou à température ambiante, mais plus encore dans le calibre du spiritueux.
Bien que le saké puisse être servi et dégusté à différentes températures, une bonne règle à retenir est que les sakés réfrigérés et à température ambiante ont tendance à être de qualité supérieure, tandis que les sakés chauds sont généralement de qualité un peu inférieure.
« Certaines personnes ont déjà un mauvais goût dans la bouche quand il s’agit de saké parce qu’elles n’ont essayé que du saké chaud, ou qu’elles se sont enivrées de saké chaud parce qu’elles en prenaient des photographs », explique Roxas. « Vous ne voulez pas prendre de photographs de saké. »
En ce qui concerne les températures de service optimales, Roxas indique que si vous achetez une bouteille de qualité moyenne à supérieure, refroidir votre saké vous permettra d’obtenir le plus d’arômes et de saveurs. «Il y a des sakés que je servirais et que je boirais versés sur un gros rocher parce qu’ils sont si bons et que vous voulez les siroter et les déguster frais», explique Roxas. « Si c’est un saké que vous aimez vraiment, vous trouverez la bonne température. »
Remark associer le saké à la nourriture
Contrairement aux saveurs audacieuses que l’on retrouve dans d’autres spiritueux, la beauté du saké réside dans sa simplicité.
« S’il y a une quotation que j’aime vraiment, c’est : « Le saké ne se bat pas avec la nourriture » », dit Roxas. « Le saké a de faibles niveaux d’acidité, ce qui est vraiment agréable, donc vous pouvez l’associer plus facilement que le vin. »
La texture plus douce du saké signifie également que vous obtenez une abondance de saveur umami, ce qui le rend idéal pour accompagner du poisson, des légumes, des œufs et d’autres aliments qui pourraient autrement être difficiles à associer.
Alors que le monde vous appartient littéralement lorsqu’il s’agit d’associer du saké, Utsunomiya conseille de ne pas dormir avec du saké la prochaine fois que vous mangerez vos collations préférées.
« Le saké se marie aussi bien avec le jambon salé et le fromage. Cela peut paraître étrange, mais je recommande également l’affiliation avec une pizza », dit-il.
Histoire du saké
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L’histoire du saké remonte à des milliers d’années. Bien que ses origines remontent à la Chine ancienne, la method de fermentation du riz et de sa transformation en boisson alcoolisée se serait développée au Japon vers 300 avant JC, avec l’introduction de la tradition et de l’agriculture du riz.
Depuis plus de 2 000 ans, le riz constitue non seulement un aliment de base dans la delicacies japonaise, mais également dans la manufacturing de saké. Les méthodes de fabrication du saké ont évolué en même temps.
Au plus fort de la manufacturing de saké au Japon, pendant la période Meiji (1858-1912), on estimait qu’il y avait entre 10 000 et 20 000 brasseries de saké dans tout le pays. Depuis des siècles, le saké est apprécié comme boisson pour les events spéciales, des mariages aux festivals en passant par les funérailles.
Cependant, l’industrialisation de la manufacturing de saké, associée à l’abondance d’autres boissons alcoolisées largement disponibles, a provoqué une baisse de la demande intérieure de saké au fil des années. Avec moins de 2 000 brasseries de saké au Japon, si vous avez l’event de visiter et de soutenir une brasserie de saké lors de vos voyages, vous ne devriez pas dormir sur cette opportunité.
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