Nous avons gardé un surveillez de près Saint depuis leur première apparition sur scène il y a environ dix ans. Le catalogue de la société australienne d’équipements n’a cessé de croître au fil des ans, mais un produit est resté au cœur de leur marque : des denims d’équitation à la fois élégants et protecteurs.
L’approche de Saint consiste à utiliser des tissus de haute technologie dotés d’une résistance à l’abrasion intégrée, produisant des vêtements monocouches plutôt que d’empiler du denim ordinaire sur du Kevlar. Cela fait leur pantalon d’équitation non seulement confortable, mais aussi suffisamment furtif pour passer pour une tenue décontractée. J’ai possédé, porté et roulé avec plusieurs paires de denims de moto Saint, et ils ont tous obtenu des résultats élevés.
Le nouveau jean Saint Unbreakable Coretec incarne cette approche. À 385 $ (États-Unis) ou 549 $ (australien)le nouveau denim haut de gamme de Saint est le plus cher, mais c’est aussi le plus protecteur, obtenant une cote de sécurité AAA CE. Saint m’a envoyé une paire dans ma taille habituelle pour voir si elle est à la hauteur du battage médiatique.
Les denims Saint Unbreakable Coretec tirent leur nom du tissu qu’ils utilisent ; Coretec. Il s’agit d’un matériau composite qui utilise un noyau en lycra pour plus de flexibilité, avec une couche extérieure en coton recyclé. Ces deux éléments sont tissés ensemble avec de l’UHMWPE (polyéthylène à poids moléculaire extremely élevé), un matériau résistant qui se distingue par sa haute résistance à la traction, sa résistance aux chocs et son faible coefficient de frottement.
Dans le monde réel, cela se traduit par un denim de 14 oz qui a l’facet épais du denim selvage, mais qui est moins rigide, avec un toucher doux et brossé. J’ai choisi le jean Saint Unbreakable Coretec dans la coupe droite de Saint (il existe également une possibility skinny), dans ma taille habituelle, et il s’adapte parfaitement, à la situation qu’il soit assez lengthy.
Mon jean taille 40 a un entrejambe de 35″, il est donc obligatoire de le relever. Côté coupe, la coupe droite de Saint est ample sans être trop ample. L’espace de respiration supplémentaire, ainsi que la flexibilité du tissu Coretec, les rendent extrêmement confortables, à la fois sur et hors du vélo.
L’armure extremely positive D30 Ghost se trouve au niveau des hanches et des genoux, offrant une safety CE niveau 1 tout en étant à peine perceptible. C’est moins de safety que les éléments de niveau 2 de certains autres denims Saint, mais le compromis est que l’armure est suffisamment légère et malléable pour être à peine perceptible, sans nuire à la be aware AAA globale du produit.
Les coussinets sont rangés dans des poches fabriquées dans un tissu doux et doux pour la peau, ce qui est une aubaine pour les longues journées en selle. Les genouillères étaient un peu basses pour moi lors de ma première sortie avec le jean Unbreakable Coretec, mais j’ai vite réalisé qu’il y avait deux choices de hauteur dans leurs poches. Un ajustement rapide, et ils sont désormais parfaitement placés.
Esthétiquement, le jean Saint Unbreakable Coretec touche toutes les bonnes notes. Le denim est d’un noir foncé et uni, ce qui devrait bien s’adapter si mes autres denims Saint en sont une indication. Il n’y a rien d’extraordinaire non plus avec les garnitures : vous obtenez une disposition customary à cinq poches, avec quelques surpiqûres orange et une marque minimale.
La seule selected qui manque est un petit détail que Saint a ajouté à son modèle Engineered ; une bande réfléchissante à l’intérieur de la jambe qui se révèle lorsque vous remontez les poignets. C’est une petite considération, mais c’est un glorious moyen d’augmenter d’un cran l’facet sécurité de ces denims. J’ajouterais que le denim épais semble bien chaud à des températures extrêmes, mais je ne l’ai pas porté par une journée assez chaude pour en être sûr… pour le second.
Ces notes mises à half, les principaux arguments de vente du jean Saint Unbreakable Coretec sont vraiment le model et le confort. Je suis coupable de lésiner sur l’équipement quand cela me fait me sentir à l’étroit ou quand cela me fait ressembler à un calmar. Le fait que ces denims ne fassent ni l’un ni l’autre signifie que je continuerai à les porter, balade après balade.
Saint | Photos de Wes Reyneke
