Soyons réalistes : la vie est pleine de cartons. Certains sont pratiques, comme ceux d’Amazon, et d’autres… pas tellement. Je parle des boîtes mentales invisibles et auto-imposées qui nous maintiennent confinés, frustrés et aspirant à quelque selected de plus. Considérez ces boîtes comme des conteneurs de stockage obsolètes – exigus, poussiéreux et qui auraient dû être jetés sur le trottoir. Si vous vous êtes déjà senti coincé dans vos habitudes ou si vous avez eu peur d’essayer quelque selected de nouveau, vous vivez peut-être dans une telle.
La bonne nouvelle ? Vous n’êtes pas seul. Et mieux encore ? Vous pouvez sortir de cette boîte. Alors, prenez votre pied de biche métaphorique (ou simplement votre sens de l’humour) et commençons.
Étape 1 : Prise de conscience – Le second Aha
Avant de sortir de la boîte, nous devons admettre que nous y sommes. Plus facile à dire qu’à faire, non ? La vie a une façon sournoise de nous convaincre que notre boîte est normale – ou pire, sûre. Mais voici un indice : si vous vous dites toujours : « Je suis comme ça » ou « Les gens de mon âge ne font pas ça », félicitations ! Vous avez repéré votre boîte.

Je me souviens avoir réalisé que j’étais dans l’un d’entre eux lorsque j’ai dit à un ami que je ne pouvais pas essayer la salsa parce que j’avais « deux pieds gauches ». Elle m’a regardé droit dans les yeux et m’a dit : « Tu ne sais même pas quels pieds tu as jusqu’à ce que tu essaies ! C’est à ce moment-là que j’ai compris : je m’enfermais de peur d’avoir l’air stupide. Ma « boîte » était une piste de danse sur laquelle je n’avais pas encore mis les pieds.
Prenez un second. C’est quoi ta boite ? Écrivez-le – cela pourrait bien vous surprendre.
Étape 2 : Évaluer – Cette boîte vous sert-elle ?
Certaines boîtes nous font du bien. Ils nous aident à rester organisés ou à éviter les mauvaises ondes. Mais d’autres ? Ce ne sont que des placards exigus contenant des objets dont nous n’avons plus besoin.
Posez-vous la query : cette boîte est-elle utile ou nuisible ? Peut-être êtes-vous resté dans la case « Je ne suis pas doué en technologie ». Bien sûr, cela peut vous éviter quelques maux de tête liés aux mots de passe, mais cela vous empêche également de contacter FaceTiming vos petits-enfants ou créer le membership de lecture en ligne dont vous avez rêvé.
Les boîtes sont comme de mauvaises coupes de cheveux : vous les devenez trop grandes. Si votre field ne vous sert plus, il est temps de la retirer de votre vie.
Étape 3 : Affronter la peur
Ah, la peur. C’est le ruban adhésif qui maintient votre boîte ensemble. Qu’il s’agisse de la peur de l’échec, du jugement ou simplement de l’inconnu, c’est souvent la principale raison pour laquelle nous restons bloqués. Mais retirons-en le pouvoir, d’accord ?
Voici un exercice easy : notez votre peur et son pire scénario. Soyez dramatique ! Si votre peur est de parler en public, le pire des cas pourrait être d’oublier vos répliques, de trébucher sur le cordon du micro et de vous retrouver sur une bobine de bêtisier viral. Maintenant, relisez cela et riez un peu – quelle est la probabilité que cela soit vraiment ? Spoiler : Pas vraiment.
En reconnaissant vos peurs, vous leur enlevez leur capacité à vous contrôler. Et soyons réalistes : la plupart des peurs semblent plutôt ridicules une fois écrites.
Étape 4 : Planifiez votre grande évasion
Sortir d’un cadre n’est pas une query de progrès spectaculaires – il s’agit de petites étapes stratégiques. N’oubliez pas que Rome n’a pas été déballée en un jour.
Commencez par un plan. Si vous sortez du schéma « Je suis trop vieux pour commencer quelque selected de nouveau », votre plan pourrait ressembler à ceci :
- Recherchez le cours d’aquarelle qui vous a toujours intéressé.
- Appelez le studio et renseignez-vous sur les choices pour débutants.
- Achetez du matériel de peinture (bonus : faire du procuring, c’est amusant !).
- Présentez-vous.
En planifiant à l’avance, vous réduisez les inconnues qui alimentent votre peur. De plus, avoir une feuille de route facilite le premier pas. Ce qui nous amène à…
Étape 5 : Passer à l’motion – même si c’est petit
Voici le problème : penser à sortir de la boîte ne vous type pas réellement de la boîte. Tu dois faire quelque selected – même si ce n’est qu’un petit pas.
Disons que vous êtes coincé dans la case « Je ne peux pas voyager seul ». Votre première étape ne doit pas nécessairement être de réserver un voyage en solo en Italie. Commencez plus petit. Recherchez une ville voisine que vous n’avez jamais explorée et planifier une tour d’une journée. La clé est de créer une dynamique, automobile chaque petite motion érode les parois de la boîte.
N’oubliez pas que même les petits pas comptent comme un progrès. Tant que vous bougez, vous gagnez.
Conclusion : la liberté est amusante
Sortir d’une boîte est libérateur – et oserais-je dire, amusant. Lorsque vous sortez des limites de la peur et de la routine, vous ouvrez la porte à des possibilités dont vous ignoriez l’existence. Qu’il s’agisse d’essayer un nouveau passe-temps, de dire oui à une aventure ou enfin de suivre ce premier cours de Zumba (automobile oui, vous faire ayez les bons pieds pour cela), chaque pas que vous faites vers la liberté apporte de la joie.
Alors, quelle est votre première étape ? Quoi qu’il en soit, prenez-le aujourd’hui. Votre avenir sans boîte vous attend – et croyez-moi, c’est bien plus spacieux ici.
Discutons :
Quelle est la boîte qui vous enferme ? La peur vous empêche-t-elle de vous évader – ou y a-t-il une autre raison pour laquelle vous restez dans votre boîte ? Quelles petites mesures pouvez-vous prendre pour donner un élan à votre voyage vers la liberté ?