Dans cette nouvelle sérieThe Utilized Ecologist amplifie la voix du personnel et des étudiants du Centre pour l’environnement et la durabilité de l’Université de Surrey pour présenter leur travail diversifié et interdisciplinaire et contribuer à inspirer la prochaine génération.
Dans cet article, nous partageons les recherches de Sophie Tudge.
Rencontrez Sophie Tudge
Je suis doctorant au Centre pour l’environnement et le développement sturdy. Je fais actuellement des recherches sur les empreintes de biodiversité de différentes utilisations des terres au sein des industries agricoles et forestières dans le cadre du projet Projet PREDICTS.
Sur quoi travaillez-vous en ce second ?
L’objectif primordial du projet PREDICTS est de prédire remark les changements d’utilisation des terres et d’intensité d’utilisation des terres, induits par la demande de différents sorts de produits, influenceront la biodiversité. J’ai travaillé à différentes échelles géographiques, depuis des modèles mondiaux d’utilisation des terres jusqu’à des enquêtes écologiques sur le terrain au Royaume-Uni, et j’ai testé remark la biodiversité peut – ou non – se rétablir après des changements d’affectation des terres.
Un thème essential de mes recherches est la biomasse et son rôle dans la fourniture d’énergie renouvelable. Récemment, j’ai essayé de prédire les changements dans la biodiversité qui se produiraient dans le monde si la bioénergie situation de la biomasse terrestre était massivement développée. J’utilise les données sur la biodiversité conservées dans le Base de données PRÉVISIONS, organisé de manière à vous permettre de tester facilement les effets des changements d’affectation des sols sur la biodiversité. Il peut également être utilisé pour estimer les effets écologiques de la conversion des terres agricoles existantes en plantations de cultures énergétiques.
Ce travail a nécessité beaucoup de manipulation de données, de recherche dans la littérature pour trouver des données appropriées sur l’utilisation des terres et des projections de changement d’affectation des terres, et travailler avec des données géospatiales dans R..
Avec qui travaillez-vous au Centre ?
Au Centre pour l’environnement et le développement sturdy, mes superviseurs sont Dr Zoe M Harris et Professeur Richard Murphy. Ils connaissent tous deux très bien les features durables de l’utilisation de la biomasse pour la bioénergie, les différentes matières premières disponibles et la façon dont l’industrie de la biomasse fonctionne dans le monde réel (non universitaire).
Je collabore également avec l’équipe PREDICTS, basée au Laboratoire sur l’avenir de la biodiversité au Muséum d’Histoire Naturelle. Spécifiquement, Dr Adriana De Palma et Professeur Andy Purvis J’ai fourni un soutien inestimable en matière de modélisation de la biodiversité et j’ai utilisé leurs Indice d’intégrité de la biodiversité approche pour obtenir ma mesure de la biodiversité.
Pourquoi ce projet est-il essential ?
Pour moi, ce travail est d’une significance capitale pour l’avenir de notre planète. Nous sommes au milieu d’une crise de la biodiversité et d’une crise climatique, dans lesquelles l’agriculture joue un rôle majeur.
La bioénergie est sans aucun doute une various potential, parmi tant d’autres, aux énergies fossiles traditionnelles. Mais de nombreuses questions demeurent quant à sa durabilité environnementale, et nous devons établir les faits si nous voulons promouvoir une utilisation et une gestion accrues des terres visant à générer davantage de biomasse à des fins énergétiques.
Par exemple, y a-t-il une likelihood que nous puissions rendre la bioénergie « constructive pour la nature » en plantant un mélange d’herbes et d’arbres de cultures énergétiques indigènes sur une parcelle de terrain – entrecoupé de cultures arables, de pâturages ou de zones réservées aux habitats naturels – aidant restaurer la nature et créer des paysages productifs aux usages multiples ? Ou pourrions-nous simplement finir par échanger une monoculture de cultures à grande échelle contre une autre monoculture d’arbres ou de graminées exotiques qui restaurent la nature sur le papier, par exemple en répondant aux critères de création de forêts, mais pas dans la réalité.
Quelles sont les implications futures de votre projet de recherche ?
Le projet PREDICTS aidera à mettre en évidence les endroits où la plantation de cultures énergétiques pourrait être meilleure pour la biodiversité que d’autres, aidant ainsi à affiner les plans à grande échelle pour la manufacturing de bioénergie, l’utilisation des terres et la conservation. Cependant, travailler à l’échelle mondiale signifie évidemment qu’il reste encore beaucoup à faire à des échelles plus petites pour réellement évaluer la faisabilité de la plantation de cultures énergétiques dans ces endroits. Par exemple, les agriculteurs de ces différentes zones sont-ils réellement disposés à modifier leurs pratiques ? Quelles incitations et installations sont en place pour que cela fonctionne ?
Du côté de la biodiversité, l’indice d’intégrité de la biodiversité est idéal pour obtenir une estimation globale de la biodiversité et pour prédire si une motion aurait un influence positif ou négatif sur la biodiversité. Cependant, il manque certains détails à grande échelle qui seraient nécessaires pour prendre des décisions à l’échelle du terrain.
Par exemple, une prochaine étape potential pourrait consister à identifier un emplacement approprié pour la plantation de cultures énergétiques selon la carte mondiale, puis à examiner plus en détail les espèces trouvées à cet endroit. Y a-t-il des espèces menacées et la plantation de cultures énergétiques serait-elle nocive ou bénéfique pour ces espèces particulières ?
Il est possible que toutes les espèces ne réagiront pas de la même manière à la plantation de cultures énergétiques. Une analyse plus détaillée de la biodiversité locale actuelle et du potentiel de changement de la biodiversité après la plantation serait donc utile pour ces décisions à l’échelle du terrain.
Plus d’informations sur le projet PREDICTS
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