Ce qui go well with est extrait d’un communiqué de presse publié par la ville de Vancouver.
Le programme d’artwork public de la ville de Vancouver dévoile quatre Plateformes : neuf lieux de visite projets ce mois-ci. Les deux premiers à être présentés sont Rentrer à la maison par Robin Roberts et Femme Aigle par Shain Niniwem Selapem Jackson.
Shain Niniwem Selapem Jackson’s Femme Aigle est un dessin numérique d’une matriarche aigle dansant sous une pleine lune de cuivre. L’œuvre a été inspirée par les nombreuses femmes dans la vie de l’artiste qui l’ont élevé et lui ont apporté amour, conseils et soutien. L’artiste souhaite que les spectateurs ressentent la capacité de ces femmes à danser à travers l’adversité et la douleur avec une dignité et un braveness féroces. Selon les propres mots de l’artiste :
A chaque époque s’élève une matriarche. Elle vit toute sa vie pour servir mais elle n’est pas une servante. Elle est tisserande. Préposé à un métier à tisser composé de pièces transmises. Ses composants sont façonnés génération après génération par des femmes glorieuses qui portent une imaginative and prescient exquise, celle de l’amour et de l’unité. Les brins de son tissu sont des âmes. Certains ont des battements de cœur, d’autres sont constitués uniquement de souvenirs assemblés avec un abandon astucieux.
Certains brins sont en cuivre et en or. D’autres sont magnifiques avec les extrémités effilochées, en lambeaux ou déchirées. Elle les raccommodera avec les fibres de sa propre gown, même si elle est elle-même élimée. Tel est le sacrifice qu’exige son artwork.
Cette œuvre est installée à la Station du Village Olympique à Cambie et 2ème. Il sera en place jusqu’au 15 mars 2024.
Celui de Robin Roberts Rentrer à la maison, affiché sur les fenêtres de la station King Edward de la Canada Line jusqu’au 15 mars 2024, représente un panthéon d’animaux dessinés dans le type Formline du nord des Haïdas. L’inspiration pour l’approche du frontlet de boîte en bois courbé est venue du fait que l’artiste dessinait en écoutant des professeurs d’études autochtones parler de la Loi sur les Indiens, de la création de réserves et de pensionnats. Il s’est retrouvé à dessiner continuellement des boîtes représentatives des tentatives de confinement, ou des boîtes de l’indigénéité.
L’œuvre a été créée en trois sections avec les fenêtres gauche et droite représentant une determine frontale en bois courbé et un épaulard, représentant le royaume de l’eau. Le placement des collectible figurines de la boîte en bois courbé sur les panneaux extérieurs a été fait de manière à ce que les photographs soient contenues dans cette boîte. La fenêtre centrale représente de gauche à droite un aigle avec une determine humaine (royaumes du ciel et de la terre), une histoire de mère ourse (royaume de la terre) et un corbeau volant le soleil, avec un œuf de saumon comme soleil (royaumes du ciel et de l’eau). ).
Cette œuvre est présentée sur vinyle translucide, en partie pour suggérer des vitraux et l’histoire de la faith liée à la fois à la famille des artistes et au rôle de l’Église dans le processus de colonisation.
Trois des grands-parents de Robins sont allés au pensionnat, le quatrième fréquentant une école de jour. En raison des tentatives canadiennes d’effacement, il existe dans le pays de l’artiste un idea de retour au pays.
Cette œuvre est en l’honneur de ce retour. Robin renforce ce récit avec la représentation du saumon, connu pour son voyage de retour ardu, ainsi que l’histoire haïda de la mère ourse qui est elle-même une histoire de transformation et de retour à la maison.