Le ministère américain de la Justice a l’intention d’inculper Boeing pour avoir violé un accord lié à deux accidents mortels Crash d’un avion de ligne 737 Maxselon les rapports de Bloomberg et ReutersSelon certaines informations, le gouvernement fédéral cherche à obtenir un plaidoyer de culpabilité de la half de Boeing, ce qui pourrait inclure une amende pénale de 243,6 thousands and thousands de {dollars} et forcer l’avionneur à faire appel à un contrôleur de conformité indépendant.
Le règlement Boeing-DOJ fait suite à un accident survenu en Indonésie en 2017, qui a tué les 189 personnes à bord ; et un accident en Éthiopie en 2018, qui a tué les 157 personnes à bord. Malgré l’opposition de certains législateurs et proches des personnes tuées dans les incidents, Boeing obtenu le règlement de 2,5 milliards de {dollars} en 2021, ce qui l’a temporairement protégé des poursuites pénales. L’accord exigeait que l’avionneur rapporte les preuves et les allégations de fraude et « renforce son programme de conformité », avait alors déclaré le ministère de la Justice.
Puis, en janvier, un panel a fait exploser un avion Boeing exploité par Alaska Airways, révélant ainsi des problèmes persistants de sécurité et de conformité au sein de l’entreprise. Quatre mois plus tard, le gouvernement fédéral a déclaré dans un file judiciaire que Boeing avait a rompu son accord de 2021 en ne parvenant pas à « concevoir, mettre en œuvre et appliquer un programme de conformité et d’éthique pour prévenir et détecter les violations des lois américaines sur la fraude dans l’ensemble de ses opérations ».
Le ministère de la Justice a décidé de porter plainte contre Boeing et souhaite que l’avionneur accepte un accord de plaidoyer, selon plusieurs rapports. Un tel accord comprendrait environ un quart de milliard de {dollars} d’amendes supplémentaires, selon Bloomberg ; il pourrait également forcer Boeing à faire appel à un contrôleur indépendant pour s’assurer que l’entreprise respecte les lois anti-fraude, selon Bloomberg. Actualités AP.
Selon certaines informations, le ministère de la Justice aurait informé les familles et les avocats des victimes du crash du 737 Max de l’accord conclu dimanche, et aurait donné une semaine au constructeur aéronautique pour décider s’il acceptait l’offre ou défendait sa trigger devant un tribunal. Boeing n’a pas immédiatement répondu à une demande de commentaires sur ces informations.