
Le message d’invité d’aujourd’hui est extrait du nouveau livre Information pratique du lecteur curieux sur la non-fiction par Anne Janzer.
Je crois que chaque personne sur terre est un conteur. Nous essayons tous de comprendre l’histoire de nos vies.
—Steve Amande, La vérité est la flèche, la miséricorde est l’arc
Dans un sens, tout écrit provient de mémoires, s’appuyant sur les propres views, observations et histoires de l’écrivain. De nombreux auteurs (dont celui-ci) remplissent leurs livres et leurs essais d’anecdotes personnelles.
Pourtant, en tant que lecteurs, nous souhaitons souvent nous voir nous-mêmes ou voir nos conditions reflétées dans l’ouvrage, en particulier lorsque nous lisons des conseils. Si nous ne pouvons pas nous imaginer, nous pouvons nous sentir indésirables. Par exemple, une femme lisant un livre rempli de profils d’hommes peut se sentir subtilement exclue, même si elle n’en réalise pas consciemment la raison.
Les auteurs de non-fiction doivent décider où rassembler leurs histoires et dans quelle mesure ils s’appuient sur leur expérience personnelle.
Pour les exposés journalistiques, les mémoires, l’histoire ou toute autre non-fiction narrative, le sujet détermine l’histoire et les personnages. Pour les livres qui expliquent ou inspirent, les auteurs disposent d’un massive menu d’choices pour choisir des histoires pour soutenir leurs idées.
Expérience personnelle
Les propres expériences des écrivains sont facilement accessibles, elles apparaissent donc fréquemment. Le partage d’histoires personnelles crée un sentiment de connexion entre le lecteur et l’écrivain.
Au début du livre Soustraire : la science inexploitée du moinsLeidy Klotz raconte le second où il a conçu son domaine d’études. Il utilisait des blocs pour construire un pont avec son jeune fils. Ils devaient relier des excursions de différentes hauteurs. Alors qu’il cherchait automatiquement un bloc à ajouter à la tour la plus courte, son fils retirait simplement un bloc de la tour la plus haute. Et à ce moment-là, Klotz a eu une révélation : si nous voulons des conceptions plus simples et à moindre affect, nous devons affronter notre intuition instinctif pour résoudre chaque problème par l’addition. L’histoire met en lumière le idea qui ancre tout le livre. (Il en a également fait une expérience qui a confirmé le biais plus massive en faveur de l’addition.)
Les histoires des autres
De nombreux auteurs découvrent des histoires grâce à des recherches originales : en interviewant des sujets, en interrogeant des personnes et en étant dans le monde, physiquement ou virtuellement. Lorsqu’ils partagent des histoires de personnes non célèbres, les écrivains doivent nous présenter les personnages. Cela peut être un défi.
Certains auteurs sont brillants dans l’artwork de dessiner ces personnages : lisez n’importe quel livre de Michael Lewis sur la finance pour rencontrer les gens qui prennent vie sur la web page. Mais tous les écrivains ne sont pas aussi compétents. Si nous ne parvenons pas à ressentir un lien avec les gens ou à les visualiser, les histoires n’auront pas autant de pouvoir qu’elles le pourraient.
Jusqu’où l’écrivain parvient-il à rassembler ces histoires ? S’ils proviennent tous des réseaux de l’auteur, les lecteurs extérieurs à ces réseaux peuvent se sentir exclus. Par exemple, les livres sur l’entrepreneuriat qui présentent uniquement les entreprises technologiques financées par du capital-risque risquent de ne pas convenir aux aspirants entrepreneurs du secteur de la vente au détail ou des providers.
Histoires d’actualité, d’histoire, de légendes ou de fiction
Les histoires ancrées dans la tradition populaire sont faciles d’accès et souvent familières aux lecteurs. Mais il y a un risque que le lecteur les ait déjà rencontrés. Tant de livres d’affaires se sont appuyés sur l’histoire de Steve Jobs qu’elle est devenue obsolète – un héritage ironique pour un homme aussi innovateur.
Les livres de non-fiction combinent souvent des histoires provenant de toutes ces sources. Le juste équilibre dépend de l’effet que l’auteur espère que les histoires, dans leur ensemble, auront sur le lecteur.
- On se despatched vu lorsque l’histoire représente des gens comme nous.
- Nous obtenons de nouvelles views lorsque les histoires mettent en lumière des personnes différentes de nous.
- Nous nous sentons connectés lorsque les écrivains partagent des histoires personnelles auxquelles nous pouvons nous identifier.
Le choix des histoires raconte lui-même une histoire.

Anne Janzer est coach en livres de non-fiction et auteur de plusieurs livres primés sur l’écriture, notamment Le processus de l’écrivain et Écrire pour être compris. Elle est fascinée par la science et le mystère de l’écriture et est toujours à la recherche d’indices pour une meilleure communication. Qu’elle disséque une brillante explication ou qu’elle révèle les secrets and techniques d’une écriture mémorable, les idées d’Anne offrent une appréciation plus profonde de la non-fiction que vous aimez. Retrouvez ses livres et articles de weblog sur AnneJanzer.com.