Cher Monsieur ou Madame:
Il a été porté à l’consideration de notre cupboard que votre école maternelle enfreint des dizaines de lois fédérales en matière d’enregistrement concernant la propriété intellectuelle détenue et exploitée par la succession de Frère Jacques, également connu sous le nom de Frère John.
Nos résultats montrent que les lessons de votre organisation utilisent volontairement la mélodie « Frère Jacques », advert nauseam, sans approbation ni désignation, pour générer des mnémoniques pédagogiques sur des sujets allant de :
- Methods de lavage des mains
- Mémorisation de l’alphabet
- Responsabilités du chef de ligne
- Lacets de chaussures et entretien de sacs à dos
- Coordination des couleurs et des formes
Les rapports incluent également des allégations selon lesquelles notre propriété intellectuelle aurait été « torturée au level d’être méconnaissable » sous la forme d’variations « grossières et contre nature » qui s’enfouissent dans l’esprit comme « une tique de cerf d’Alabama ».
A ce titre, nous vous demandons de cesser et de renoncer à toute bâtardisation de la comptine « Frère Jacques », incluant mais sans s’y limiter les variantes suivantes :
- « Aujourd’hui, c’est… (insérer le jour de la semaine) »
- « Buenos Dias »
- « Dieu notre Père »
- « Pot pipi »
- « Aïe Aïe Bou Bou »
Conformément à l’article 3.1.41 du USPTO loi sur le droit d’auteur, nous demandons également une compensation pour les frais de licence d’un montant de 10 000 000 $, soit l’équivalent de 1 $ par récitation de la chanson « Frère Jacques » par toutes les events, y compris vous, vos élèves, les mother and father de vos élèves, vos élèves. ‘ collègues de travail des mother and father, selon la valeur la plus élevée.
Si votre école maternelle n’est pas en mesure de payer les frais susmentionnés, nous serons obligés de signaler vos méfaits aux autorités compétentes et d’intenter des poursuites civiles contre les employés responsables.
Veuillez noter que nous sommes prêts à prendre toutes les mesures nécessaires pour protéger le caractère sacré du nom et de l’picture de notre patriarche bien-aimé. Si vous ne parvenez pas à retirer la chanson de votre école et de la tête de vos élèves, nous n’aurons d’autre choix que de vous poursuivre en justice jusqu’à l’oubli.
Votre consideration sur cette query est grandement appréciée.
Sincèrement,
Conseiller juridique de Frère Jacques