THOMAS JEFFERSON:La pizza est là !
BENJAMIN FRANKLIN:Qu’est-ce qu’il y a dessus ? C’est du fromage bleu ?
JOHN ADAMS:Puis-je avoir un morceau avec moins de fromage bleu dessus ?
JEFFERSON:Il suffit de le retirer.
ADAMS:Quelqu’un peut-il m’aider à couper ma tranche en morceaux plus petits ?
JEFFERSON:Bien sûr, John.
ADAMS:C’est tellement épicé !
JEFFERSON: Ne sois pas un lâche, John. Tu as dit que tu aimais la sauce Buffalo.
ADAMS:Celui-ci contient juste plus de sauce Buffalo que ce que j’obtiens normalement.
JEFFERSON:Eh bien, vous avez dit : « Surprenez-nous ! » et voilà. Nous aurions dû simplement prendre du pepperoni.
FRANKLIN:Non, ça va. Je suis épuisée. J’ai mangé tellement de charcuterie en France.
JEFFERSON:Tremendous, encore des histoires sur la France. Pouvons-nous revenir à la rédaction de cette déclaration justifiant notre revendication d’indépendance vis-à-vis de la Grande-Bretagne ?
FRANKLIN:Ouais, mais quelqu’un peut-il passer devant le ranch en premier ?
(John Adams est couvert de la tête aux pieds de sauce ranch.)
ADAMS:J’ai renversé le ranch. Puis-je avoir une napkin ?
JEFFERSON: Reste là-bas et ne prends rien sur ce projet. Je suis sérieux, John. Je ne veux pas avoir à faire une autre copie de ceci. Écoute, nous devons établir une liste de nos griefs contre la couronne britannique afin que nous puissions expliquer dans cette sorte de déclaration publique les raisons de la déclaration d’indépendance, si le Congrès en décide ainsi dans les mois à venir. Alors, qu’en pensez-vous ?
ADAMS:Il faut mentionner que les taxes sur le thé sont exorbitantes… et que le thé est également trop épicé.
JEFFERSON:Jésus Christ, Jean.
FRANKLIN:Il faut préciser que leurs femmes ne sont pas aussi jolies que les femmes françaises.
(Jefferson pose sa plume, soupire profondément, se frotte les tempes et prend une bouchée de pizza au poulet Buffalo garnie.)
JEFFERSON:Mmm, cette pizza est délicieuse. Devrions-nous en garder une partie pour Roger Sherman et Robert Livingston ? Où sont donc ces deux-là ? Ils ont été sélectionnés pour faire partie de ce comité chargé de rédiger la Déclaration et sont censés être ici.
FRANKLIN:Je crois qu’ils ont pris des falafels.
JEFFERSON:Tremendous. Bon, alors je suppose que l’histoire les oubliera en grande partie. Bon, qu’est-ce qu’il y a d’autre à half le thé épicé et les femmes simples ? Peut-être que quelqu’un a une idée sur la façon dont nous pourrions commencer cette Déclaration…
FRANKLIN (parler avec la bouche pleine de pizza): Je pense à quelque selected comme : « Nous tenons ces vérités pour évidentes, que tous les hommes sont créés égaux, qu’ils sont dotés par leur Créateur de certains droits inaliénables, que parmi ceux-ci se trouvent la vie, la liberté et… merde… J’ai laissé tomber du poulet sur mon pantalon… euh, et la poursuite du bonheur »—(rots)-ou quelque selected comme ça.
JEFFERSON:C’est en fait assez éloquent. Merci pour ça, Ben.
FRANKLIN: Ouais, c’est sympa. Hé, tous nos noms sont inscrits sur ce billet, n’est-ce pas ? Ce serait bien d’avoir un peu de crédit pour être resté enfermé dans cette salle de réunion chaude tout l’été. De plus, j’ai l’impression que cette déclaration pourrait m’aider à mettre mon visage sur notre monnaie, et je veux vraiment payer des choses avec du papier sur lequel mon visage est inscrit.
JEFFERSON: D’accord, bien sûr. Nous allons laisser de la place à tout le monde pour signer la Déclaration… même si c’est moi qui ai été choisi pour écrire ceci à trigger de ce pamphlet que j’ai écrit il y a quelques années. Vous vous souvenez ? Un aperçu sommaire des droits de l’Amérique britannique?
ADAMS:Je ne crois pas avoir lu celui-là. La littérature argumentative me fait peur.
FRANKLIN:Ouais, non, j’étais en France, probablement, et ils ont surtout des journaux en français, que je peux parfaitement lire.
JEFFERSON: Non, c’est cool. Je pense qu’il s’est vendu à un tas d’exemplaires ou quoi que ce soit. Peu importe ce que fait Le fait est que nous comprenons tous qu’en rédigeant cette déclaration et en la signant, nous commettons un acte de haute trahison, passible de la peine de mort. Tout le monde mesure la gravité de la state of affairs, n’est-ce pas ?
(John Adams est couvert de sauce au bison et a commencé à pleurer doucement.)
ADAMS: Mon ventre fait mal.
FRANKLIN: Pour être honnête, Tommy, je n’écoutais pas. Et puis, une bière me ferait du bien.
JEFFERSON: Très bien. Ben, emmène John avec toi. Je finirai ça moi-même.
(Jefferson prend une autre bouchée de pizza et laisse tomber un morceau de poulet Buffalo sur le projet de Déclaration.)
JEFFERSON:Fils de pute. On aurait dû prendre du pepperoni.