Ne jamais lâcher prise Le movie se déroule à l’écran comme un conte de fées sombre, enveloppant son public dans un paysage forestier de branches d’arbres noueuses et de pierres moussues. Au centre de ce bosquet se trouve une maison en bois solitaire, abritant une femme connue simplement sous le nom de Momma (Halle Berry), ainsi que ses fils jumeaux Nolan (Percy Daggs IV) et Samuel (Anthony B. Jenkins). Selon Momma, ils sont les trois seules personnes restantes au monde. Un grand Mal a anéanti le reste de l’humanité, et maintenant il s’en prend à sa famille.
Il existe cependant des moyens de combattre le Mal. Ne jamais lâcher priseDans le décor boisé de la maison, ces mécanismes de défense sont tout droit sortis du folklore. Maman, Nolan et Samuel s’attachent à leur maison avec une corde à chaque fois qu’ils sortent. Ce lien leur confère une safety contre le Mal. Il en va de même pour la maison dans son ensemble, que la famille considère comme une sorte de gardien sacré. Ils touchent ses murs en bois pour air purifier leur âme de tout contact avec le Mal, en récitant une comptine bien connue qui déclare : « Le paradis est ici dans notre maison. »
Tous ces éléments forment un mélange intrigant d’horreur populaire avec des nuances religieuses. Ne jamais lâcher priseréalisé par Alexandra Aja (Crawl, Cornes), ne parvient pas à tenir ses promesses. Le movie s’enfonce parfois dans les profondeurs de la terreur, mais s’appuie la plupart du temps sur des tactiques faciles pour susciter la peur.
Qu’est-ce que Ne jamais lâcher prise à propos de?
Anthony B. Jenkins, Halle Berry et Percy Daggs IV dans « Ne lâche jamais prise ».
Crédit : Liane Hentscher pour Lionsgate
Pour Samuel et Nolan, la maison est tout ce qu’ils ont toujours connu. Il en va de même pour l’insistance de Maman à ce qu’ils restent attachés à la corde si importante et à ce qu’ils suivent chacun de ses rituels. Maman sait mieux que quiconque, automotive elle seule peut voir le Mal. Il se manifeste sous différentes formes pour elle, muant comme un serpent pour prendre la forme des membres décédés de sa famille. Souvent dans des états de décomposition semblables à ceux des zombies, ces apparitions se dirigent vers Maman et la narguent avec des souvenirs douloureux.
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Tout cela définitivement sons C’est effrayant, mais comme Samuel et Nolan n’ont jamais vu ni vécu le Mal eux-mêmes, même dans les brefs moments où ils lâchent la corde, il est naturel que le doute finisse par s’installer. Samuel, qui swimsuit toujours les règles, reste inébranlable dans sa confiance en maman. Mais Nolan devient plus audacieux en se demandant si le Mal est même réel. Alors que la famine se rapproche et que les tensions augmentent, le décor est planté pour un règlement de comptes familial et toutes les croyances qui leur étaient autrefois chères.
Ne jamais lâcher prise soulève des questions fascinantes, mais ne va jamais assez en profondeur (ou vraiment horrible)
Malheureusement, ce bilan n’arrive jamais vraiment. C’est dommage, automotive Ne jamais lâcher prise L’approche ambiguë de la query de savoir si le Mal est réellement réel ou non suscite une certaine crainte. Prenons l’histoire de Momma, qui a laissé mourir une jeune randonneuse blessée par peur qu’elle soit l’une des nombreuses formes du Mal. Sommes-nous certains qu’elle a déjoué une power malveillante ? Ou a-t-elle réellement abandonné une vraie fille qui avait besoin de son aide ? Les différentes possibilités peuvent vous déchirer en deux, et Ne jamais lâcher prise remixe ce scénario plusieurs fois tout au lengthy de son parcours pour un most de terreur.
Trop souvent, cependant, Ne jamais lâcher prise se détourne de cette complexité en faveur des frayeurs clichées. Les sursauts de peur et les séquences cauchemardesques abondent, provoquant de brefs moments de peur qui cèdent rapidement la place à l’exaspération. Je n’ai pas besoin de voir une autre créature mystérieuse traverser le cadre ! Donnez-moi une panique débridée à l’idée de perdre cette corde vitale et protectrice ou l’horrible inévitabilité de la famine n’importe quand.
Certaines idées véritablement fascinantes transparaissent Ne jamais lâcher prisemême avec ces frayeurs à moitié cuites qui encombrent la durée d’exécution. Réel ou pas, il existe différentes manières de lire l’significance du Mal pour Maman, en particulier à travers le prisme du traumatisme familial. Il y a aussi l’angle des enfants qui se détachent de leurs dad and mom : le scepticisme de Nolan est-il un second de passage à l’âge adulte pour lui ? Maman mentionne qu’elle a déjà eu une part similaire, alors sa famille est-elle piégée dans un cycle de rébellion contre puis de conformité aux rituels entourant le Mal ? Ne jamais lâcher prise il semble certainement heureux de nous laisser continuer à poser ces questions, mais après son rythme lent et son level culminant dispersé, vous regretterez qu’il n’ait pas conservé ces idées un peu plus longtemps.