Il y a une voix dans votre tête qui ne veut pas que vous vous éleviez. Elle devine de manière secondaire vos choix. Elle murmure que tu es trop… ou pas assez. Et elle interroge vos rêves et vous rappelle vos erreurs.
Tu la connais bien.
J’appelle mon critique intérieur Judy Judy.
Oui, je lui ai donné deux noms – automotive bien sûr, elle avait besoin d’un peu de aptitude pour le dramatique.
Elle se présente quand je veux essayer quelque selected de nouveau, parler, porter du rouge à lèvres audacieux ou faire un saut.
Et juste au second où je me sens prêt, elle plonge avec doute:
- «Qui pensez-vous que vous êtes?»
- « Ce n’est pas pour vous. »
- « Tu auras l’air ridicule. »
Mais voici ce que je ne savais pas depuis longtemps: cette voix n’est pas née avec moi. Il était façonné par la vie. Et comprendre d’où il vient? Ce fut la première étape pour reprendre mon pouvoir.
D’où vient le critique intérieur
Votre critique intérieur n’est pas aléatoire – il est construit au fil du temps. Peut-être que cela a commencé comme un enseignant qui vous a embarrassé devant la classe. Ou un dad or mum qui voulait bien dire mais a souligné chaque défaut.
Ce sont peut-être les magazines qui vous ont dit à quoi devrait ressembler votre corps… ou le lieu de travail où vos idées ont été rejetées.
Chacun de ces moments laisse une marque. Et au fil du temps, ils forment une voix à l’intérieur qui dit: Être plus petit. Être plus sûr. Ne prenez pas de risques.
Cette voix peut ressembler à la vôtre – mais ce n’est pas votre vérité. C’est une assortment d’expériences passées, de la programmation ancienne et de peur d’essayer de vous protéger contre le rejet ou l’échec.
L’avantage du critique intérieur
Croyez-le ou non, votre critique intérieur n’essaie pas d’être merciless. Elle essaie de vous garder en sécurité. Elle pense que si elle vous garde silencieuse, parfaite ou cachée, vous éviterez de vous blesser.
Mais rester petit n’est pas une safety – c’est l’auto-abandon. Une fois que vous vous rendez compte qu’elle a juste peur – pas raison – vous pouvez cesser de la laisser diriger.
5 façons de faire taire votre critique intérieur
Si vous êtes prêt à calmer cette voix et à entrer dans la femme que vous devenez, voici cinq façons de commencer:
1. Nommez-la (puis appelez-la)
Donnez un nom à votre critique intérieur – quelque selected qui vous aide à la voir comme un personnage, pas à votre vérité. Le mien est Judy Judy. Elle veut bien dire, mais elle est trop dramatique et un peu coincée dans le passé.
Maintenant, quand elle begin avec son commentaire, je dis: «D’accord, Judy Judy, pas aujourd’hui», et j’avance de toute façon.
Cela semble ludique, mais c’est un moyen puissant de reprendre votre voix.
2. parler – avec la vérité
Votre critique intérieure n’est pas honnête – elle est juste bruyante. Alors rencontrez sa voix avec la vérité réelle.
Si elle dit: «Vous gâchez toujours les choses», répondez avec: «En fait, j’ai beaucoup géré dans ma vie. J’apprends toujours, et c’est suffisant.»
Votre cerveau croit ce qu’il entend souvent. Assurez-vous qu’il entend votre vérité – pas seulement sa peur.
3. Rappelez-vous: elle essaie de vous protéger
Cette voix critique est la peur déguisée en utilization. Elle veut vous empêcher d’être rejeté, gêné ou blessé. Mais jouer petit pour rester en sécurité uniquement vous garde coincé.
Vous pouvez la remercier d’avoir essayé de vous protéger – puis de faire bouger le courageux de toute façon.
4. Gardez une «liste de preuve»
Créez une liste de moments dont vous êtes fier:
- Le praise qui vous a collé.
- Ce défi que vous avez relevé et que vous avez réussi.
- Le temps que vous avez parlé, s’est présenté ou que vous avez continué.
Appelez cela votre «fichier de preuves». Lorsque votre critique intérieur devient fort, ouvrez-le et rappelez-vous: J’ai déjà fait des choses difficiles. Je peux les refaire.
5. Pratiquez l’auto-compassion, pas la perfection
Vous n’avez pas besoin de bien faire les choses. Il vous suffit de continuer à vous présenter avec amour – pour vous-même.
Lorsque votre critique intérieur begin à gêner votre corps, vos choix ou vos rêves, offrez-vous la même gentillesse que vous donneriez à quelqu’un que vous aimez.
La perfection est unimaginable. L’auto-compassion est puissante.
Pensée finale
Vous n’êtes pas trop vieux. Vous n’êtes pas trop tard. Et vous n’êtes absolument pas seul.
Nous avons tous un critique intérieur – mais nous avons également le pouvoir de baisser son quantity et de refuser notre propre confiance en haut.
La prochaine fois, elle se présentera sans invitation, rappelez-la doucement: Vous avez ceci. Vous évoluez. Et vous devenez la femme que vous étiez toujours censée être.
Ayons une dialog:
Votre critique intérieur est-il effrayé, dramatique ou coincé? Vous avez-vous donné un nom? Remark traitez-vous avec elle?